Nouveau projet solaire !

J’ouvre le pas à un nouveau thème dans mes articles puisque je suis passé au solaire et il y a beaucoup de chose qui se disent sur le sujet. Pour ma part, je parlerais des faits réels sans religion.

Mon premier projet que je vous invite à suivre c’est une sorte d’onduleur inversé. Inversé ? Pourquoi ? Et bien un onduleur cela permet d’alimenter un appareil sur le courant “EDF” (par opposition au courant solaire ou celui venant d’une batterie) mais de basculer sur une batterie (dont on s’est assuré qu’elle était chargé et opérationnelle en permanence) quand il y a une coupure.

Mon besoin c’est l’inverse. J’ai des batteries que j’ai récupérées (changer sans raison sur les voitures) et j’aimerais bien les utiliser. En parallèle j’ai mon serveur de domotique qui consomme en permanence 300W en gros. J’ai mis un certain temps à faire le rapprochement mais donc voila l’idée : pourquoi je n’utiliserais pas ces batteries quand elles sont chargées pour ce besoin continu et permanent ? Voila ..

Comme vous le voyez mes “exigences” sont faibles. Je veux 300W pas plus, pas moins, mais je n’ai pas précisé combien de temps. C’est volontaire. Peu importe si ca dure 1 heure, 2 ou 10 c’est toujours ca d’économisé. Nous verrons combien nous y gagnons à la fin : pour moi c’est un peu un pari mais je me dis, de toute façon, même si l’investissement est amortissable sur 30 ans je serai content d’avoir un système qui demande le moins possible à EDF.

Voici donc le schéma de principe :

En gros donc j’ai un panneau solaire 12V, un controleur de charge basique, une batterie (ou deux ou trois) de voiture, un “inverter” (qui transforme le courant continu 12V en alternatif 230V), un ESP (le choix n’est pas arrêté mais un composant de base avec des entrées et des sorties). L’ESP est donc en charge de mesurer la batterie et de commuter un relai statique : en fait 2 relai statique pour faire passer l’électricité par la bonne source. A noter, je n’ai pas de contrainte de temps de “commutage” car mon PC est sur onduleur.

Raspberry – C’est fiable ?

Bonne question. Vu qu’on est censé être efficace, je pourrais répondre “oui” … mais ce serait peut être un peu juste. Je dirais donc plutôt “oui .. si” :

  • On prend soin de l’alimenter correctement. Il n’est pas fait pour être spécialement autonome (ce n’est pas un reproche, fais pas la tête) donc il ne faut pas hésiter à surclasser un peu son alimentation (il lui faut 2A dans la doc .. met une alimentation 3A). Moi j’ai fini par mettre cela à chacun des RPI3 :
alimentation Rail din
  • paramétrer votre système : si vous avez un LINUX et que vous voulez gagner du temps (enfin prolonger la vie de votre carte SD) je vous suggère de mettre votre partition temp dans la mémoire vive plutôt que sur la carte SD. voir ce tuto https://www.hellojona.com/2017/06/create-a-ram-disk-tmpfs-in-raspberry-pi-3/. J’ai fait également cela pour le /var/log.
  • l’utiliser intelligemment : encore une fois pour prolonger la vie de la carte SD quand vous écrivez des fichiers temporaires faites le dans /dev/shm plutot que dans votre home directory
  • dupliquer : une carte SD c’est facile à dupliquer alors dès que votre système est opérationnel, copier le une fois, deux fois ..

Voila, pour ma part ca fait un moment que je n’ai pas eu de reboot inexpliqué. Quand il reboot c’est que j’ai coupé le courant .. mais même, 50jours pour une machine à 25€ (à l’époque), ca le fait non ?

Quel ESP acheter ?

Ca fait plusieurs années que j’en achète et je me propose de faire un petit retour d’expérience .. efficace toujours. Et comme ce que j’ai acheté par le passé n’est plus disponible, ben on va voir ce qu’il y a en ce moment.

Petite précision, vous pouvez acheter un ESP8266 simple .. tout nu .. même sans les pattes .. mais va falloir gérer le courant d’alimentation, un bouton RESET, un bouton pour FLASHER et puis ensuite il faudra pouvoir lui parler donc un petit convertisseur USB<>RS232 .. bref on va casser le porte-monnaie et pour 1€ de plus on aura ce qu’on appelle une plaque de développement (breadboard ou testboard in english). Donc ce genre de chose, merci, on s’en passe.

Comme on est efficace, je vais m’adresser aux gens qui veulent commencer : on veut donc pouvoir se lancer dans l’exploration de la gamme, commencer à faire des petites choses simples. Nous allons donc de suite écarter l’ESP32 WROOM car il est un peu énervé : il fait du WIFI et du bluetooth.

Vu qu’on commence, on va pas rentrer dans les considérations de consommation faible (et donc de deep sleep) donc on va éviter les modèles à pile ou à batterie.

Venons en au fait, en fait, y a un mot clef à retenir : nodemcu. Si vous tapez cela dans votre recherche vous tomberez sur l’explication dans wikipedia mais pour faire simple c’est un projet opensource. Des gens design des plaques de développement, et comme c’est opensource et ben c’est fabriqué de partout donc à pas cher.

Ce modèle de plaque de développement est donc super : en bas il y a un port micro-USB donc vous n’avez qu’à le brancher à votre pc et installer Tasmota (voir mon article sur le sujet). Il est donc alimenté. Ensuite, vous n’avez plus qu’a brancher votre sonde de température les entrées, ou brancher votre relais 5V sur les GPIO ..

ENJOY !

ESP32 – merci Tasmota !

J’allais partir dans un long descriptif commençant par “Avant …” et puis je me suis rappelé le crédo du site : efficace. Bon, donc, peu importe le passé, retenez simplement qu’avant c’était pénible (pour un non electronicien). Mais quand même en fait avant on programmait en LUA son ESP … et puis il y a eu ESPEASY, c’était super mieux déjà …

Et voila .. Tasmota est arrivé.

Tasmota Logo

Mais qu’est ce que c’est ?

Pour faire simple c’est une application qu’on vient installer sur son ESP32 et qui va vous permettre, sans toucher la moindre ligne de code (ni LUA, ni rien) de configurer votre ESP pour, je sais pas moi, mesurer une température (avec un DS18B20), mesurer un courant (avec un PZEM..) ..

Summum de la classe internationale c’est que si vous allez sur le site vous verrez ca (à droite) .. Web installer !!!

Qui correspond à l’adresse suivante : https://tasmota.github.io/install/

Et oui ! vous allez pouvoir mettre à jour votre ESP32 (on dit flasher quand on veut faire croire qu’on s’y connait) sans installer le moindre logiciel sur votre ordinateur (plus de LUA Flasher, ESP flasher ou quoi ou qu’est ce) .. et ce, oui oui, même si d’aventure vous n’avez aucun droit d’administration sur votre ordi .. Ne me demandez pas comment ils font j’ai honte mais je ne sais pas .. mais ca marche ..

Donc voila, je vous invite à acheter un ESP (voire l’article sur ce sujet) et à essayer !!

Une alimentation PC en guise de boitier raspberry

Je sais pas vous, mais moi, j’ai peine à intégrer mes différents raspberry/Arduino/ESP dans des boitiers qui font, à vue de néophyte, fini. Dans mon cas ca fini souvent collé au mur avec tout un tas de cables. Alros c’est décidé, nouvelle résolution, je fais quelque chose de fini. Bon à défaut je vais cacher le tout dans un truc qui donne l’impression que c’est fini !

En faisant la poubelle, j’ai trouvé une alimentation de PC, mais celle ci bien que HS était jolie .. un joli métal brossé… c’est la que j’ai eu l’idée. L’avantage est que c’est donc une jolie boite avec une entrée 220V, un bouton et un ventilateur .. mais c’est génial !

Alors donc première étape, j’ai démonté l’intérieur pour ne garder que les composant de la face arrière. Il reste cela, c’est joli non ?

Ensuite, j’ai trouvé, dans la même poubelle mais un peu plus tôt une carte d’alimentation (de PC toujours) qui fournit du 5V et 12V à partir du 220V .. trop bien .. il ne reste plus qu’à brancher le tout !

Mirroir magique .. dis moi qui est le plus .. non laisse tomber, affiches moi justes les infos !

Comme vous l’aurez compris, je vous présente ici la première partie de la mise en place d’un mirroir magique, magic mirror. Et dans cette première partie, je ne parlerais ni de magie ni de mirroir. En effet, quite à vous décevoir, sachez qu’il y a un truc, en fait derrière le mirroir il y a un écran et un raspberry. ouaaaaaaaaaaaaaa..

Bon l’idée de départ était de pouvoir présenter en une page synthétique toutes les informations utiles pour la maison : les températures bien sur, l’état de fonctionnement de la VMC, de la piscine, de la chaudière etc etc .. Tout ce qu’on a en ligne sur mon intranet de domotique mais en une page, faite exprès pour mon écran. Cela évite en effet d’ouvrir le site depuis un téléphone (ben oui on est de l’ancienne école) mais surtout cela donne toutes les informations en un coup d’oeil .. et puis surtout ca m’amuse (en fait c’est le seul argument).

Au niveau du matériel :

  • un très vieux pc portable que je désosse et dont je récupère l’écran uniquement
  • un raspberry modèle 3 A+ (wifi donc)
  • pour relier les 2, une carte controlleur LVDS (https://fr.aliexpress.com/item/4001139239839.html?spm=a2g0s.9042311.0.0.27426c375xyxT7)
  • quelques bout de bois taillés à 45° pour faire un cadre (y a du travail de finition ici)

Comme on a deux besoins en alimentation différent 12V et 5v et qu’on a pas beaucoup d’espace j’ai opté pour un convertisseur 12V > 5V (https://fr.aliexpress.com/item/1005001382654920.html?spm=a2g0s.9042311.0.0.27426c379NVtSd). Je n’ai donc qu’un adaptateur secteur 12V qui alimente tout.

La partie logicielle n’est pas forcément aisée mais ce n’est que de l’intégration web donc une page web qui se rafraichit toutes les secondes et qui va chercher ses données dans une base locale (SQLite dans mon cas présent) .. surtout pas sur la base de données en ligne sinon on génèrerait trop de trafic réseau.

Il reste plus qu’à démarrer chromium en mode plein écran et automatiquement au démarrage : pour cela il faut ajouter la ligne suivante au fichier /etc/xdg/lxsession/LXDE-pi/autostart :

@chromium-browser –kiosk http://localhost/display.php –force-device-scale-factor=0.8

le deuxième paramètre permet de dezoomer la page dans mon cas à 80% de sa valeur

Quel modèle de raspberry choisir ?

Cela ne vous aura pas échappé, il y a plusieurs versions et modèles de raspberry et donc .. plusieurs prix .. Alors, lequel choisir ? Souvent, on vous répond, ben le dernier, qui peut le plus peut le moins. Oui mais mon compte en banque lui il peut le moins donc j’aimerais être, la encore, EFFICACE ! Qu’est ce que ca veut dire encore ? Mais je vous l’ai déjà dit ca veut dire qu’on met le prix et la qualité qui va bien, pas besoin d’un bazooka pour tuer une mouche.. Oui mais pour commencer il faut définir quel est le besoin, le mien en tout cas. Pour ma part le raspberry c’est pour mesurer des températures, des niveaux, des fronts montants ou descendants, et actionner via un relais. Je l’utilise également pour faire un “magic mirror” et pour gestionnaire de télévision.

Je dirais donc que le raspberry 4 selon moi devient un bazooka. Pour domotiser, je vois mal comment utiliser toute cette puissance si ce n’est pour gérer des flux vidéos par exemple (mais moi je n’ai pas assez de débit à la maison pour m’amuser à cela).

Pour ma part, je distinguerais donc plusieurs groupes :

  • les vieux modèles d’occasion sur thegoodcorner: et oui, les plus ancien, on ne le trouve plus. pour moi, on est au top de l’efficacité. On trouve des raspberry à 20€ qui n’ont certes pas tous les GPIO des derniers modèles mais largement de quoi mais une petite station de mesure.
  • Le raspberry 3 modèle A+ : parfait pour mes utilisations qui sont proches d’une source de WIFI. En effet, ce modèle n’a pas de port éthernet. A la base on le trouvait à 20€ sur amazing mais il semble qu’il y ait eu de l’inflation. Il est parfait typiquement pour faire une station d’affichage (interactive ou pas)
  • Le raspberry 3 modèle B+ : un peu trop pour mon besoin, mais moins pire que le 4. Je m’en sers donc pour une station de mesure un peu plus évoluée et qui fait plus de chose (par exemple des petits traitements d’image vite fait). Il est un peu plus cher mais

Hack ZIGBEE de Philips HUE (partie 1)

Vaste programme ..

J’écrirai dans un autre poste pourquoi je considère la solution Philips HUE efficace : nous partirons donc ici du postulat qu’elle l’est.

Il faut d’abord distinguer deux installations : celles avec pont HUE et celle sans. Et oui ce n’est pas la même chose. Il faut savoir que si vous utilisez le pont pour commander une ampoule alors vous ne pourrez plus utiliser la télécommande comme avant. En effet, quand le pont commande une ampoule celle ci rejoint le réseau du pont. Si vous voulez qu’une télécommande pilote l’ampoule il faut que celle-ci rejoigne le même réseau. La télécommande ne parle alors plus directement à l’ampoule mais au pont HUE, qui parle à l’ampoule. Ca n’a l’air de rien mais il y a un gap d’efficacité : je n’ai jamais rencontré le moindre problème quand il n’y avait pas le pont HUE. A chaque appui sur les télécommandes, l’action était immédiate. Après mise en place du pont, ce n’est plus la même chose. J’ai notamment constaté qu’en cas d’utilisation de la bande passante internet (un téléchargement très long), le pont n’arrive pas à commander les ampoules (ni depuis le téléphone, ni par l’intermédiaire des télécommandes).

Je parlerais ici de l’installation avec pont HUE. En effet, sans lui, vous ne pourrez pas parler aux ampoules/prises depuis votre téléphone ou votre raspberry. Mise à part ce problème qui relève plus de la performance que de la fiabilité (j’entends par la qu’on arrive toujours à allumer ou éteindre, c’est juste le délai qui peut être de plusieurs secondes), je trouve la solution vraiment bonne dans la mesure ou elle est très bien documentée. Il y a toutefois un manque qui est cruel pour moi : on ne peut pas réagir à un événement (ie changement d’état) à la volée (trigger). C’est affreux nan ?

Nan ? Mais si mais si .. rendez-vous compte, pour avoir le statut d’un appareil (lampe ou prise), il faut le demander au pont. AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!! non ? Cela ne vous effraie toujours pas ?! Mais quand même, pour avoir le statut en temps réel (je déteste cette appellation qui a le bon gout d’être toujours fausse) il faut interroger en boucle le pont .. c’est à dire générer du trafic réseau, manger du CPU de raspberry .. nan nan nan cela ne va pas du tout.

C’est la raison pour laquelle j’ai voulu écouter sur le réseau zigbee dans l’espoir d’intercepter à la source le message qui dit “Lampe 1 ON”. Pitié, s’il y avait un autre moyen, ne me le dites pas ! 🙂

Fort de cette volonté j’ai fait quelques recherches et en grand radin que je suis j’ai arrêté mon choix sur un dongle équipé d’une puce texas instrument CC2531 dont voici la datasheet

https://www.ti.com/product/CC2531

On trouve le produit sur amazon à 30€ (https://www.amazon.fr/Zigbee-CC2531-Antenne-Bo%C3%AEtier-Coordinator/dp/B0843SL7WM) environ mais surtout, sur leboncoin à 10€ ..

Coté firmware, vu que je suis passé par leboncoin, je n’ai pas eu le choix > zboss

https://zboss.dsr-wireless.com/projects/zboss/wiki/What_is_ZBOSS

Pour les premiers tests, je suis passé par Windows. En effet, zboss propose un sniffer qui fonctionne sans rien faire dans cet environnement et, cela va nous être utile plus tard, Il faudra juste s’enregistrer. Il vous faudra le célèbre analyseur de paquets Wireshark qui est gratuit (et qui fonctionne sous Windows et raspberry).

Vous voila fin prêts .. mais si vous foncez comme je l’ai fait, vous allez, comme moi perdre du temps pour rien. En effet la première information à récupérer c’est le canal ZIGBEE que votre pont utilise !

Pour cela, il y a plusieurs moyens :

  1. sur l’application philips HUE de votre téléphone en allant dans le menu “Ponts Hue” puis en affichant les informations (petit “i” entouré à droite) puis tout en bas dans “Modification du canal Zigbee” >> sans le modifier bien sur, il est affiché.
  2. via l’utilitaire html qui intérroge l’API REST >> http://IPHUE/debug/clip.html : en mettant l’url /api/votreid/config vous obtiendrez une réponse commencant par : { “name”:”Pont Hue”, “zigbeechannel”:24, …. vous l’avez !
  3. via un curl depuis votre raspberry >> curl -s http://IPHUE/api/votreid/config | jq -r ".zigbeechannel"

Voila, on va pouvoir commencer.. La suite au prochain épisode

Hack SONOFF T4EU1C

Hack de l’interrupteur sans Neutre T4EU1C de SONOFF.

Description de la partie électronique

Le T4EU1C se compose de 2 parties reliées par un connecteur header 2×4 pins. (Récupéré sur le site SuperHouse.tv)

La partie commande avec le touch sensor pad et l’ESP8285 :

La partie 230V avec le relais et l’alimentation 1 fil AC-DC 230VAC/12VDC.

Reprogrammation avec le firmware Tasmota

Il s’agit de remplacer le firmware constructeur par un firmware Tasmota SONOFF basic tasmota.bin à récupérer ici :

https://github.com/arendst/Tasmota/releases/tag/v8.3.1

Utiliser l’outil FlashESP8266 basé sur une version de esptool pour programmer l’ESP8285, que l’on peut récupérer ici dans la release de ESPEASY ici (ou tout autre Flasheur, Tasmotizer …) :

https://github.com/letscontrolit/ESPEasy/releases/tag/mega-20200608

Préparation de la carte de commande :

Préparer la carte de commande avec 2 boutons poussoir qui agiront sur le Reset et GPIO0 (il est important d’utiliser des 2 boutons pour que le touch sensor pad fonctionne correctement au final).

Gratter la piste pour souder GPIO0, Reset sur R3 entre R3 et R4 et GND sur C21 côté plan de masse.

Souder un header 4 pin sur J1 pour le programmateur.

Programmation :

Copier le fichier tasmota.bin dans le répertoire bin du programme FlashESP8266.exe.

Lancer le programme FlashESP8266.exe.

Brancher le programmateur FTDI au PC, choisir tasmota.bin dans la liste à programmer et le port COM adéquat.

Débrancher le programmateur. Côté PC et le connecter côté SonOff.

Maintenir les 2 boutons poussoir.

Brancher le programmateur au PC.

Attendre 2s

Relâcher le Reset

Attendre 2s

Relâcher GPIO0

La programmation est lancée, attendre la fin.

Faire un Reset de la carte ou débrancher/rebrancher le programmateur pour relancer le SONOFF.

Dans la liste des réseaux WIFI, rechercher l’appareil portant un nom de SSID « tasmota_XXXXXX-####».

Connecter ce réseau.

L’interface de configuration de Tasmota est accessible à l’adresse 192.168.4.1

Configuration de Tasmota :

Renseigner ssid et password WIFI  perso.

Sauver et redémarrer le module 

Ouvrir la console Tasmota : 

Saisir une adresse IP fixe : 

Saisir : IPAddress1 192.168.11.xx 

Mise à l’heure : 

Saisir : TimeZone 99 

Sauver et redémarrer le module 

Configuration MQTT : 

Configuration Domoticz : 

Ouvrir Domoticz : 

Créer un nouveau Matériel – Dummy 

Récupérer le numéro Idx dans la liste Dispositifs. 

Configurer le HA bridge pour inclure le switch dans Alexa. 

Configurer Alexa pour insérer le switch dans les appareils Alexa. 

La domotique efficace ? mais qu’est ce que c’est ?

Après plusieurs mois d’existence, le blog tient enfin son titre : la domotique “efficace” .. super ! Mais qu’est ce que cela veut dire ?

Pour tout dire à la base mes attentes vis à vis de la domotique était d’avantage le coût au plus faible possible. Le titre aurait donc été “la domotique pour les radins”. Le truc c’est qu’en étant radin en argent, je me suis rendu compte, après plusieurs années, que :

  • les solutions “à pas cher” n’étaient pas toutes très fiables dans le temps
  • les solutions “sur l’étagère” permettaient parfois de gagner beaucoup de temps

Donc l’idée d’efficacité est désormais de trouver un juste milieux entre un prix raisonnable, un temps de “maintenance” raisonnable et une durabilité raisonnable. Une solution “efficace” pour moi est donc une solution qui dure dans le temps sans qu’on ait d’opération à faire et sans s’être ruiné. Avant d’écrire des articles plus concrets, voici un exemple concernant les sondes de températures.

Solution : WIFI ESP8266#1 nu avec DS18B20 >> pas efficace (pas cher mais pas fiable dans le temps et long à faire), pas fun car trop complexe mais intéressant pour entrer dans le sujet

Solution : WIFI ESP8266#12 sur devboard NodeMCU >> efficace et fun

Solution : RF433 Sonde Lacrosse ou Oregon avec RFXCOM >> pas efficace (Trop luxueux) et pas fun du tout.

Solution : RF433 Sonde Lacrosse ou Oregon et RFLINK >> efficace et fun